Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Lettre à S. (suite)

    Si précieux et si fragile

    Si pur et si parfait

    Si unique et si intense

    que je n'ai pas su le préserver dans mon cœur et mon âme.

     

     

     

     

     

  • Lettre à S. (première partie)

    A tous ceux qui ont déjà aimé ; à ceux qui ont traversé l'infernale incertitude d'être aimés en retour ; à vous qui pour un moment, avez douté de vous-mêmes, vous qui avez mis en question toute votre existence parce qu'on vous refusait quelques bribes de bonheur auprès de l'être aimé ; vous qui vous êtes confrontés à une réalité trop laide, trop injuste, qui, par amour vous êtes enfermés dans la solitude et le mutisme ; à vous qui pleurez de tristesse, d(inquiétude, du manque de la personne aimée ; à vous, qui avez vécu la rencontre avec l'Autre dans l'angoisse, vous que la peur a paralysé à l'idée qu'il puisse s'éloigner, s'écarter, vous rejeter ; à vous qui vous êtes résignés, à vous qui avez vu vos rêves et vos désirs se briser sur la barrière de l'amitié qu'on vous donne comme une aumône, qui avez accepté l'humiliation de constater que vous ne serez rien de plus dans sa vie  qu'une connaissance parmi d'autres ; à vous qui avez souffert par amour ; à vous donc, sont dédiées ces quelques lignes. Elles trouveront un écho en vous. Vous traversez les mêmes incertitudes, joies ou déceptions. Vous saurez les comprendre, être indulgents, compatir.

    C'est une histoire banale en somme. Celle de chacun d'entre nous. Identique au départ, aliénable, interchangeable, inchangée. Mais unique par ses particularités, parce que personnelle. Peu importe les protagonistes de cette aventure, les lieux et l'époque : c'est l'histoire d'un individu dont le centre d'intérêt cesse d'être lui-même et devient l’Autre.

  • silence

    P1170537.JPG

    Comment ne pas mourir  puisque TU n'es plus là ....

  • Priere

    Ô mon Rêve

    Ne te dissipe pas dans les vapeurs de l'aube

    Attarde-toi sur les feuilles d'un aulne

    Sur un brin d'herbe

    Dans les pétales du Myosotis

     

    Ô mon Doux Rêve

    Le jour vient assez tôt assez tôt

    Hâte-toi de ralentir les heures inachevées

    Enferme-les dans l'orbe lunaire

     

    Ô mon Rêve Doux

    Amère douceur

    Perle occitane Perle de Rosée

     

    Ô Mon Rêve

    Approche-toi de la Nuit

    Le jour vient assez tôt

    Tôt