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Un Champ labouré sur la colline

Dans l’apaisante sonorité matinale du désir

Le morcellement de l’aurore évanouie

Caresse ton visage aux fleurs de l’envie

 

Doucement, précautionneusement,

La terre s’arrache à son socle d’éternité

D’un éveil empli de parfums et d’odeurs

 

Les sens se comblent, se dilatent,  fusionnent

Se dispersent et fusionnent encore

Incandescence primitive de l’aube, un nom

 

Commentaires

  • Heureux celui dont le nom fut la muse de si beaux vers.

  • coucou madame c'est trop jolie se que vous avez ecrit

  • c'est joli
    ^c^

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