 Nos personnages restèrent émerveillés devant ce spectacle grandiose. Le soleil brillait, l'herbe était verte et grasse, la nature, les arbres, les buissons, d'une variété de couleurs infinie.  Le ciel n'affichait pas le moindre nuage, l'atmosphère était limpide. Après le bleu des océans, l'obscurité de la caverne, la vallée parut un enchantement aux voyageurs épuisés.
 Nos personnages restèrent émerveillés devant ce spectacle grandiose. Le soleil brillait, l'herbe était verte et grasse, la nature, les arbres, les buissons, d'une variété de couleurs infinie.  Le ciel n'affichait pas le moindre nuage, l'atmosphère était limpide. Après le bleu des océans, l'obscurité de la caverne, la vallée parut un enchantement aux voyageurs épuisés.
Avec des bêlements de joie, Platon l'agneau s'élança dans l'herbe, sautant partout, dégustant des touffes de verdure, s'allongeant et roulant dans les prés. Océane et Phyllis oublièrent leur fatigue et suivirent en riant aux éclats l'agneau et ce fut un bonheur de les voir. Le Cracheur de feu fit un saut périlleux arrère, le Pêcheur s'assit sur un talus pour profiter du spectacle, et le Capitaine avec ses compagnons, se serrèrent la main joyeux.
Après avoir joué, couru et sauté, Phyllis, Océane et Platon s'allongèrent sous l'ombre d'un arbre pour se reposer. Au bout d'un moment jugé raisonnable pour recouvrer leurs forces, le Capitaine dit aux deux petites filles et à ses compagnons.
- Ce n'est pas tout ! Il faut continuer à présent. Nous devons chercher de l'eau, de la nourriture, un abri pour la nuit, et le moyen de regagner notre navire.
- Il faudrait aussi trouver qui nous a tendu ce piège pour nous expédier ici, ajouta le Cracheur de feu.
A contre coeur, Phyllis et Océane récupérèrent leurs affaires et se mirent en route avec les autres. Mais le petit Chaperon rouge jugea que ce n'était plus nécessaire de tenir Platon en laisse et le détacha. Ils n'avaient pas fait cinq cents mètres lorsqu'ils attendirent un écho de fanfare sortant de derrière une petite colline devant eux.
- On dirait une fête foraine ! s'exclama Phyllis. Capitaine, allons dans cette diréction !
- Une fête foraine !? Avec des manèges et des stands de tir ? Je ne suis jamais montée dans un manège ! Oh ! S'il vous plaît, Capitaine, allons-y ! le pria Océane qui auparavant avait vécu seule dans son île océane en Haute-mer.
- Très bien, répondit-il. Ce sera l'occasion de savoir où nous sommes et trouver de l'aide.
- Phyllis, ça va être aussi l'occasion pour toi et moi, de faire notre spéctacle et gagner un peu d'argent ! ajouta le Cracheur de feu.
Un demi heure plus tard, les quatre amis, le Capitaine et les deux hommes de l'équipage, arrivèrent aux abords d'un village en pleine fête. Les rues étaient décorées de fleurs et de flambeaux multicolores. Des jolis rubans accrochés aux fenêtres voletaient dans la brise, des accords de musique sortaient des bistrots, des délicieux parfums de gaufre mettaient l'eau à la bouche. Une multitude se promenait dans les ruelles, des enfants couraient dans tous les sens et s'amusaient avec des cerceaux ou des ballons, on parlait, on plaisantait, on riait.
Nos amis suivirent le courant de la foule et se trouvèrent devant une grande place où on avait installé toutes sortes de manèges. Rapidement, le Cracheur de feu et Phyllis, choisirent un endroit approprié et se mirent à jongler et à faire des tours. Platon, pour participer au spéctacle, dansait sur ses pattes arrière, sautait en l'air et tombait délicatement au sol avec grâce. Les gens ne tardèrent pas à former un groupe autour du Cracheur de feu et de sa compagne qui furent très applaudis et recompensés de leurs efforts. A la fin de la journée, fatigués mais repus et satisfaits, ils se retrouvèrent à une terrasse devant un verre de citronnade à bavarder tranquillement. En fin de compte, la hjournée se terminait bien mieux qu'elle n'avait commençait.
 - C'est ainsi que les personnages que nous  suivons depuis un moment déjà grâce à Phyllis le petit Chaperon rouge, arrivèrent en terre inconnue.  Leur navire n'était plus en état de reprendre la mer et ils ne savaient pas comment ou quand ils allaient le réparer.  Ils étaient fatigués du voyage  après une tempête terrible  ne se doutant pas que la Sirène hostile, cherchait toujours leur perte.  Ils avaient suivi le petit garçon sans vraiment poser de questions et ils pensaient que si des difficultés venaient à surgir, ils pourraient faire face  grâce à la solidarité et leur ingéniosité.  Du moins, c'était de cette manière qu'ils avaient procédé jusqu'à ce jour. Mais  l' histoire  prend  désormais un nouveau tournant, dit le vieux Bombyx aux enfants-vers du mûrier. C'est à l'instant  où  nous baissons la garde que l'ennemi choisit pour attaquer.
- C'est ainsi que les personnages que nous  suivons depuis un moment déjà grâce à Phyllis le petit Chaperon rouge, arrivèrent en terre inconnue.  Leur navire n'était plus en état de reprendre la mer et ils ne savaient pas comment ou quand ils allaient le réparer.  Ils étaient fatigués du voyage  après une tempête terrible  ne se doutant pas que la Sirène hostile, cherchait toujours leur perte.  Ils avaient suivi le petit garçon sans vraiment poser de questions et ils pensaient que si des difficultés venaient à surgir, ils pourraient faire face  grâce à la solidarité et leur ingéniosité.  Du moins, c'était de cette manière qu'ils avaient procédé jusqu'à ce jour. Mais  l' histoire  prend  désormais un nouveau tournant, dit le vieux Bombyx aux enfants-vers du mûrier. C'est à l'instant  où  nous baissons la garde que l'ennemi choisit pour attaquer. Lorsque la Sirène comprit que son énigme fut résolu, elle se mit dans une rage telle, que son corps perdit son aspet d'albâtre et   toute sa peau s'affubla d'une couleur irisée dangereuse qui mit en fuite toute créature vivante à des mètres à la ronde.
Lorsque la Sirène comprit que son énigme fut résolu, elle se mit dans une rage telle, que son corps perdit son aspet d'albâtre et   toute sa peau s'affubla d'une couleur irisée dangereuse qui mit en fuite toute créature vivante à des mètres à la ronde.