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  • Quelques vers

    Je veux être libre

    Sans liens, ni entraves

    De ma pensée je veux être le maître

    Accepter tout, tout comprendre

    Seules barrières les yeux et le coeur

     

    Je veux être libre

    Voyager sans relâche ni répis

    Rencontrer des hommes Hommes

    et des femmes Femmes

    Partager l'Orient, l'Occident puis l'Ouest


    Je veux être libre

    Palpiter aux cris des oiseaux

    Accoster les banquises

    Effleurer les eaux des océans

    Rire aux couleurs des nuages


    Je voudrais être libre

    Dans les airs, dans les cieux

    Sur  les fleuves et les villes

    dans le monde et l'espace

    Croire,espérer, aimer encore



     

  • Nuit qui veille

    Il y a la nuit, la nuit qui tombe comme des gouttes d'eau du ciel

    Il y a la pluie, la pluie qui veille les larmes des nuits,

    Il y a les pensées, pensées qui galopent dans des vents-mémoires,

    Nuits et pensées se confondent, obscures, dérangeantes, acerbes

    La nuit dort dans les bras du sommeil, la pensée louvoie, la pluie veille,

    La nuit, la pensée, la veille.  Pluie effroi veille.

     

  • IX

    Elle porte la couleur eau

    Visage de coton, cheveux de rides

    Douceur de mots

    Mots qui s'effritent, mots qui se fuient


    Elle porte le ciel lumière

    Coeur de montagnes, rides de vallées

    Idée étoile

    Fardeau d'Amour, ma mère.


  • VIII

    Abschied

    La conscience s’égare, voyage, se perd

    Dans les méandres des rêveries impossibles

    Puis revient à toi, te sourit

    La pensée se promène dans des lieux purs

    Où tu es seul à y pénétrer

    L’esprit s’égare dans tes Mondes

    Dans tes yeux, dans ton cœur

    Te retrouve, se perd encore

    Loin ! Hors du temps

    Je chemine dans l’intervalle laissé par ton corps

    J’ajuste mon allure, associe ma démarche

    Guide mon pas à l’errance immobile de ton âme

    Dans le Cosmos qui t’appelle

    Vers ce Vide insondable où tu t’emmures

    Une tristesse au fond de moi

    Te retrouver ! Dans l’espace

    Une laideur accablante, monotone m’accueille

    Héberge ma douleur, m’apaise

    Dans son sein concave

    Et me susurre tes secrets

    Perdus ! Dans l’abîme