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femmes

  • Usage de l'entonnoir

    images.jpg" Ceci n'est pas une pipe" disait un grand peintre du XXème siècle.

    Evidemment ! C'est un entonnoir.

    Et parce que vous êtes, chers lecteurs, des gens pratiques et efficaces,  vous maîtrisez l'usage de cet objet.

    Je croyais, pour ma part être comme vous, mais encore une fois j'avais tort !

    ( Non, non, n'essayez pas de me consoler, je suis vraiment à côté de mes pompes. Mais je reste humble et ouverte à l'enseignement et aux conseils.)

    Voici une manière inattendue d'utiliser cette invention.

    - Discussion autour de nos repas respectifs, rechauffés au micro-ondes archaïque de notre lieu de travail.

    - Sujet : Usage  d'un certain médicament qui commence par S... contre les effets de la gastroentérite.

    "On peut garnir les parois de l'estomac ou du c... avec le S... c'est marqué sur le sachet.

    - Et comment on fait ?

    - Avec un entonnoir ! "

    (Rires gras des l'assistance)

  • Bonnes épouses

    Une grande et noble discussion aujourd'hui m'a permis de me cultiver et de sortir de mon ignorance (crasse) dans laquelle je me vautre depuis un bon moment déjà.

    Il parait qu'un homme digne de ce nom, se doit d'épiler les sourcils parce que sinon c'est pas beau, ni élégant et qu'une bonne épouse doit se soucier de l'épaisseur des sourcils de son homme, question d'esthétique et d'hygiène et il y en a même qui nous ont fait la démonstration comment il fallait s'y prendre.

    Avouez que c'est une conversation de très haute importance de compter les collègues qui ne s'épilent pas afin d'intervenir auprès de leurs épouses et éviter au mari la honte publique !

    Heureux mortels !

  • Vive les mères et leurs enfants aussi

    Je m'en vais contrarier (vexer, voire fâcher) la majeur partie -la totalité ? - des quelques âmes sympathiques, égarés sur ce blog.

    J'ai eu l'occasion de rencontrer l'autre jour une maman, contrariée qu'un quelconque professeur -enseignant de seconde zone- a pu sous-estimer les qualités de son enfant au point de lui mettre une mauvaise note.

    C'était pour elle un affront personnel, une insulte à ses qualités de mère qu'on ne reconnaissent pas le talent, l'intelligence et la sensibilité de son enfant, peu importe si l'enfant en question n'a pas respecté les consignes. Selon elle, il faut savoir admirer l'originalité, la sensibilité, l'inventivité de l'enfant, apprécier sa créativité. Personne (surtout un enseignant dont les capacités sont très discutables, sa formation chancelante et insuffisante, qui sort de nulle part) n'a le droit de noter mal un enfant qui a toujours eu d'excellents résultats (les notes des années précédentes en témoignent)!

    Mamans, parents, cessez de vous croire tout permis ! Arrêtez de penser que vous avez mis au monde le génie en puissance, l'enfant prodigieux et unique par excellence ! Ne soyez pas prétentieux au point de croire que votre enfant est l'exception parmi les milliers d'autres que compte le pays. Laissez aux professeurs le soin d'enseigner, d'accompagner votre enfant dans sa démarche d'apprentissage intellectuel, plutôt que de réclamer à cors et à cris des explications, des justifications, des réparations et la tête de l'enseignant par la même occasion!

    L'école n'est pas (encore ) un hyper-marché où l'on  vous rembourse si vous n'êtes pas satisfaits.

  • Qui a dit que le silence est d'or?

     

    - Dis, Laëticia, je peux te demander un petit service ?

    Aie ! Quand ça commence comme ça, c'est mauvais signe. Surtout lorsque la voix devient mielleuse style hall de gare pour vous annoncer que votre train à destination de votre station d'hiver est annulé pour cause de tempête et que vous raterez deux jours sur les quatre que comptent vos vacances au ski, et qu'il faudra compléter une tonne de paperasses et passer un temps fou à négocier par conversations téléphoniques interposées - si les lignes marchent encore malgré l'effet du blizzard sur les antennes relais, conversations qui vous coûteront les yeux de la tête, dépassement de forfait etc. et j'en passe - pour se faire rembourser de quelques malheureux euros mais pas la totalité; c'est pour ça qu'ils font payer des arrhes : pour assurer leurs arrières et l' arrière saison morte par la même occasion, à vos dépens.

    La question venait de la part d'une collègue (sympa sous tous rapports par ailleurs), mais qui avait tendance à s'attarder un peu trop sur ses besoins personnels et un peu moins sur les besoins des autres.

    - M'vouiiiii ? (Soyons peu loquaces, sa dissuade les familiarités) Ça dépend lequel. ( Ne pas croiser son regard surtout ) Et tu remarqueras, je ne promets rien (ton froid et ferme).

    Sages précautions avec certaines personnes. On n'est jamais trop prudent. Dommage que cela ne marche pas à tous les coups.

    - Tu finis à quelle heure habituellement le lundi ? (Pourquoi tu veux m'inviter à manger chez toi?) Parce que, tu sais cette mission aux locaux de la région qui est à faire le 28 ? (Non, et je ne veux pas le savoir!) J'ai vu le chef qui est d'accord (on a succombé à notre charme irrésistible?), si toi t'es d'accord bien sur (cause toujours), mais il ne devrait pas y avoir de problème puisque tu habites juste à côté ( Nan! Seulement une petite heure en transports en commun et une bonne heure à pieds) et que ça t'éviterais de perdre du temps pour te déplacer à venir jusqu'ici (j'en aurai pour vingt minutes grand maximum et j'aime perdre mon temps), vu que tu habite si près (tu devrais réviser tes notions de géographie), et tu pourrais finir plus tôt (c'est-à-dire 7h 20 au lieu de 7h30 ?) ; alors que moi, tu comprends (tout le monde sait qu'il faut me le répéter dix fois pour que ça imprime), ça m'obligerais de prendre ma voiture (sûr, faut pas user les pneus un moment de récession), passer un temps infini à chercher à me garer (gare-toi en épi c'est plus facile et plus rapide) ; en plus ce jour-là, c'est justement mon après midi de congés(encore!), tu vois, ( je ne vois rien du tout)et j' avais prévu autre chose, tu vois, (ça devient inquiétant, va falloir que je consulte) et si ça t'embête pas d'aller à ma place, je te revaudrai ce service. Parce que, tu vois (là je suis carrément aveugle), c'est quand même pas juste que ce soit moi qu'il y aille ; après tout, c'est vrai que tu es plus près et que ça t'éviterais de passer deux heures aller- retour ce jour-là pour venir ici, au bureau alors que tu peux bosser juste à côté de chez toi, non ? (Tant de sollicitude m'émeus) En plus t'as pas de congés en ce moment. Évidemment si tu ne veux pas, t'es pas obligée (m'as-tu laissé le choix?) ; mais avoue que ça pourrait nous arranger toutes les deux ! Qu'est-ce que tu en penses ?(silence)Tu acceptes alors! (j'ai rien dis encore!) J e l'avais dit au patron! Merci Laëticia, tu es une vrai copine!